mardi 17 mai 2011

Dominique Strauss Cannes


L'avantage des insomnies prolongées, c'est qu'elles permettent de dessiner alors qu'on ne devrait pas avoir le temps... Et aussi de pitoyablement titrer ses posts, visiblement. 

Bref, pendant que l'affaire DSK, le "DSKgate" si l'on peut dire, bat son plein, à Cannes, de malheureux artistes se font chier sur la Croisette, les strass étant bien glauques quand rien ne les illumine... Car franchement, qui s'intéresse aujourd'hui à l'actualité cannoise ? A moins que Robert de Niro ne se mette à flinguer un à un les membres de son jury, ou que Laetitia Casta n'annonce son intention de tourner pour l'élégant pornographe John B. Root, il est très improbable que d'ici la fin de la semaine, le feu médiatique vienne réchauffer leurs os d'intermittents.

Ah, et une dernière chose qui m'a amusé hier : la fascination des médias pour le menottage de DSK. Un truc finalement très anecdotique, qui appartient plutôt au protocole qu'autre chose, mais qui semble avoir été perçu comme un symbole de déchéance. Pfff, faut arrêter avec les symboles, les mecs, même pour faire des gros titres, ça devient pénible. 

1 commentaire:

Anonyme a dit…

ah ah, c'est sur que c'est pas facile pour eux mais en même temps ils savent ce que c'est que le spectacle !